Quatrième de couverture :
Dans le futur, des Maîtres noirs règnent sur les deux continents, l'Afirik en plein essor et l'ancienne Europe, aujourd'hui dévastée par les épidémies.
Des bateaux conduisent en Afirik, par dizaines de milliers, des esclaves blancs, ceux qu'on nomme les Cornes d'ivoire. Du lointain passé, la jeune Mari ne sait pas grand-chose. Esclave dans une plantation de Kassamansa, elle rêve d'en apprendre davantage sur le pays mythique de ses ancêtres. Leur langue s'est perdue et, de leurs traditions et croyances, il ne subsiste que quelques rites obscurs. Même si Mari partage la vie de ses frères dans le village blanc, elle fait figure de privilégiée.
Compagne de jeu et souffre-douleur de la petite Lisha, elle est admise dans la somptueuse demeure de ses Maîtres noirs. Un drame va faire basculer sa vie...
Mon avis :
Une très belle découverte ! Pas un coup de coeur malheureusement.
Un début plutôt accrochant, j'ai beaucoup aimé le personnage de Mari, son caractère, sa situation. Les décors sont très bien décrits, l'intrigue est super bien ficelée, on s'attache à tous les personnages même les maitres. La petite lisha malgré son caractère de cochon reste attendrissante, malgré son éducation qui à toujours été tournée pour l'amener à haïr et soumettre les esclaves on sent qu'elle est attachée à Mari, j'ai eu l'impression qu'elle se cachait derrière son caractère et cet aspect de sa personnalité m'a beaucoup plu. Marie quand à elle est tout aussi attaché à la petite malgré tout, en tout cas c'est ce que j'ai ressentie, tout le travail d'humanisme de ce livre commence par là selon moi. M'enfin tout ça pour dire que j'ai adoré cette première partie , j'ai trouvé la vie a Ker Samba très intéressante.
Malheureusement la deuxième partie de l'oeuvre m'a semblé longue et ennuyante en grande partie, l'action est freiné par les descriptions trop présentes et souvent inutile pour l'avancé de l'intrigue à mon gout. J'ai du sauter quelques passages pour rester dans l'aventure...
Heureusement l'effet se dissipe quelques centaines de pages avant la fin, ou l'ont retrouve un sens à tout cela...
De plus Mari en devient chiante, son comportement durant ce lapse de temps était différent, elle m'est apparue comme une gourde qui ne sait pas vraiment ce qu'elle veut, ou plutot qui accepte tout et n'importe quoi en s'auto-convainquant de sa bravoure qui m'a plus parue être de l'idiotie... M'enfin.
De gros points positifs que j'ai pu relevé tout au long du livre, la façon dont on peut voir la religion, le point de vue qui nous est donné sur les différents cultes que l'ont à pas l'habitude de voir ainsi, j'en suis venue à me poser des questions ! Et si l'afirik avait réellement existé et si nous avions le même point de vue sur les religion africaines à l'inverses ? bref je me comprends. Un très bon point là dessus :)
À part ça la dernière partie à été un vrai régale ! Une belle ouverture pour cette très belle histoire, hâte de lire la suite !
Ma note :
17/20
Dans le futur, des Maîtres noirs règnent sur les deux continents, l'Afirik en plein essor et l'ancienne Europe, aujourd'hui dévastée par les épidémies.
Des bateaux conduisent en Afirik, par dizaines de milliers, des esclaves blancs, ceux qu'on nomme les Cornes d'ivoire. Du lointain passé, la jeune Mari ne sait pas grand-chose. Esclave dans une plantation de Kassamansa, elle rêve d'en apprendre davantage sur le pays mythique de ses ancêtres. Leur langue s'est perdue et, de leurs traditions et croyances, il ne subsiste que quelques rites obscurs. Même si Mari partage la vie de ses frères dans le village blanc, elle fait figure de privilégiée.
Compagne de jeu et souffre-douleur de la petite Lisha, elle est admise dans la somptueuse demeure de ses Maîtres noirs. Un drame va faire basculer sa vie...
Mon avis :
Une très belle découverte ! Pas un coup de coeur malheureusement.
Un début plutôt accrochant, j'ai beaucoup aimé le personnage de Mari, son caractère, sa situation. Les décors sont très bien décrits, l'intrigue est super bien ficelée, on s'attache à tous les personnages même les maitres. La petite lisha malgré son caractère de cochon reste attendrissante, malgré son éducation qui à toujours été tournée pour l'amener à haïr et soumettre les esclaves on sent qu'elle est attachée à Mari, j'ai eu l'impression qu'elle se cachait derrière son caractère et cet aspect de sa personnalité m'a beaucoup plu. Marie quand à elle est tout aussi attaché à la petite malgré tout, en tout cas c'est ce que j'ai ressentie, tout le travail d'humanisme de ce livre commence par là selon moi. M'enfin tout ça pour dire que j'ai adoré cette première partie , j'ai trouvé la vie a Ker Samba très intéressante.
Malheureusement la deuxième partie de l'oeuvre m'a semblé longue et ennuyante en grande partie, l'action est freiné par les descriptions trop présentes et souvent inutile pour l'avancé de l'intrigue à mon gout. J'ai du sauter quelques passages pour rester dans l'aventure...
Heureusement l'effet se dissipe quelques centaines de pages avant la fin, ou l'ont retrouve un sens à tout cela...
De plus Mari en devient chiante, son comportement durant ce lapse de temps était différent, elle m'est apparue comme une gourde qui ne sait pas vraiment ce qu'elle veut, ou plutot qui accepte tout et n'importe quoi en s'auto-convainquant de sa bravoure qui m'a plus parue être de l'idiotie... M'enfin.
De gros points positifs que j'ai pu relevé tout au long du livre, la façon dont on peut voir la religion, le point de vue qui nous est donné sur les différents cultes que l'ont à pas l'habitude de voir ainsi, j'en suis venue à me poser des questions ! Et si l'afirik avait réellement existé et si nous avions le même point de vue sur les religion africaines à l'inverses ? bref je me comprends. Un très bon point là dessus :)
À part ça la dernière partie à été un vrai régale ! Une belle ouverture pour cette très belle histoire, hâte de lire la suite !
Ma note :
17/20